Les tables Dokamatic ont permis de couler, en une fois, les 1500 m² de dalle de 60 cm d'épaisseur à plus de 5 m de haut.
Contact presse
Au cœur de la ville de Brest, un nouveau quartier de 16 hectares est en cours d’aménagement. Il s’agit des anciens ateliers de construction navale des Capucins. Le site militaire se transforme en un écoquartier doté de toutes les fonctions urbaines (résidentielles, économiques, citoyennes, culturelles) soucieux de mixité sociale et de développement durable. Dans l’imposant bâtiment de 160 m x 160 m conservé, la «rue commerçante » est en cours de réalisation. Pour l’heure, il s’agissait de couler en une fois la dalle de 1 500 m² en post-contrainte, sans recours à la grue, les travaux se déroulant sous les charpentes et toitures rénovées.
Les travaux ont été confiés à l’entreprise Sogea, qui a souhaité utiliser des tables coffrantes Dokamatic pour couler cette dalle en post-contrainte. Non seulement cette solution permet de se libérer de la problématique de la grue, mais elle permet également de travailler davantage en sécurité, puisque les tables sont équipées de montants de garde-corps et de barrières de protection.
150 tables Dokamatic ont donc été mises en place pour composer un coffrage de dalle de 1 500 m² de surface, à 5,50 m de hauteur. L’installation de ces grandes unités a été facilitée par le recours à un chariot télescopique, d’autant qu’un calage bois était nécessaire pour les tables qui reposaient sur le simple remblai.
Les travaux ont été confiés à l’entreprise Sogea, qui a souhaité utiliser des tables coffrantes Dokamatic pour couler cette dalle en post-contrainte. Non seulement cette solution permet de se libérer de la problématique de la grue, mais elle permet également de travailler davantage en sécurité, puisque les tables sont équipées de montants de garde-corps et de barrières de protection.
150 tables Dokamatic ont donc été mises en place pour composer un coffrage de dalle de 1 500 m² de surface, à 5,50 m de hauteur. L’installation de ces grandes unités a été facilitée par le recours à un chariot télescopique, d’autant qu’un calage bois était nécessaire pour les tables qui reposaient sur le simple remblai.
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